Togo-Routes : La Nationale N°1, l’enfer et la mort.
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Chose dite, chose faite mais à quel prix ! Les citoyens togolais n’ont cessé de clamer jusque là une route perfectionnée, synonyme de victoire et de bonne gouvernance de Faure Gnassingbé.
De toutes les façons un bien fait n’est jamais perdu, il mérite un minimum de reconnaissance et c’est ce que le peuple togolais fait mais en réalité la technologie et l’évolution moderne, deux facteurs à prendre en compte dans la création des infrastructures en manquent au gouvernement togolais.
Le cas de la Nationale N°1
La nationale N°1 est plus étroite que le détroit de Gibraltar. Quand les bus des sociétés de transport, les camions veulent se doubler alors là, c’est la mort qui rôde autour de nous, l’enfer est à notre portée. Les voitures sont obligées de descendre sur le passage piéton et d’autres dans la brousse pour trouver un espace enfin de pouvoir éviter le pire.
On se demande quel type de route possédent les togolais au 21e siècle ?
Les accidents sont fréquents : collisions, percussions des piétons, retrouvailles dans les gouffres. Ça continue et si rien n’est fait la Nationale N°1 continuera d’être l’enfer des usagers.
Il est temps que les routes togolaises soient aussi “aller et retour”. 56600Km2 c’est rien par rapport aux autres pays qui ont de gigantesques infrastructures.
Gérard Arouet
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